Pneumonie

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Les Symptômes sont: Fièvre importante avec des frissons ; Toux grasse ; Essoufflement lors des activités quotidiennes ; Douleur thoracique lors de la toux ou de la respiration ; Voire otites et méningites, notamment chez les jeunes enfants. Incapacité à s'alimenter et s'hydrater, pertes de consciences, hypothermie et convulsions sont possibles chez les nourrissons très gravement malades.

La pneumonie est une infection des poumons, causée le plus souvent par une bactérie ou un virus, et qui touche principalement les alvéoles pulmonaires. Souvent bénigne, elle est peut être responsable d'une mortalité élevée en cas d'infection invasive à pneumocoque. La pneumonie est une infection aiguë des poumons, au niveau des « alvéoles pulmonaires », la structure qui permet les échanges entre le sang et l’air inhalé. La pneumonie est une infection des voies respiratoires basses, dans les poumons, au niveau des alvéoles pulmonaires. Plusieurs sortes de germes peuvent être responsables : des bactéries, des virus ou plus rarement des parasites et des champignons. Le plus souvent, la pneumonie est due à une bactérie, le pneumocoque. L'infection touche les « alvéoles pulmonaires », les petits ballons situés à l'extrémité des voies respiratoires (« bronches » et « bronchioles »), qui se gonflent et se dégonflent en fonction de la respiration, et où se produisent les échanges d'oxygène et de gaz carbonique (« oxyde de carbone ») entre l'air extérieur et le sang. Lorsque l’infection se développe, elle entraîne une inflammation de la région du poumon concernée et la formation de pus qui vient remplir les alvéoles et empêcher l’oxygénation à cet endroit. Le pus est rempli de protéines toxiques pour détruire les bactéries et il peut abîmer les alvéoles. On distingue les pneumonies communautaires acquises en milieu urbain ou rural des pneumonies nosocomiales acquises à l'hôpital. Les poumons sont divisés en cinq lobes, trois dans le poumon droit et deux dans le gauche. Lorsque l'infection atteint un seul lobe, on parle de pneumonie lobaire. Quand les bronches sont aussi touchées, c'est la bronchopneumonie.

Les pneumonies peuvent être dues à plusieurs types de germes : des bactéries, des virus ou des champignons. Les bactéries appelées Streptococcus pneumoniae et Haemophilus influenzae type b sont le plus fréquemment à l'origine des pneumonies. ▼ Publicité ▼  Partager 0 0 Newsletter Abonnez-vous à la newsletter ACCUEIL>LES MALADIES>PNEUMONIE : UNE INFECTION GRAVE DU POUMON QU'IL FAUT PRÉVENIR Pneumonie : une infection grave du poumon qu'il faut prévenir Publié le 12.11.2019 Mots-clés :pneumoniepoumoninfectionpneumocoquelégionelloseantibiotique Pneumonie : une infection grave du poumon qu'il faut prévenir © 123RF-atic 12 La pneumonie est une infection des poumons, causée le plus souvent par une bactérie ou un virus, et qui touche principalement les alvéoles pulmonaires. Souvent bénigne, elle est peut être responsable d'une mortalité élevée en cas d'infection invasive à pneumocoque. COMPRENDREDIAGNOSTICTRAITEMENTPREVENIRPLUS D’INFOS Pneumonie : COMPRENDRE Des mots pour les maux La pneumonie est une infection aiguë des poumons, au niveau des « alvéoles pulmonaires », la structure qui permet les échanges entre le sang et l’air inhalé. La pneumonie est aussi appelée « congestion pulmonaire ». La « pneumonie communautaire » est une pneumonie acquise en milieu urbain ou rural. La pneumonie acquise en milieu hospitalier est dite « nosocomiale ». La pneumonie est à risque chez les immunodéprimés. Qu'est-ce que la pneumonie ? La pneumonie est une infection des voies respiratoires basses, dans les poumons, au niveau des alvéoles pulmonaires. Plusieurs sortes de germes peuvent être responsables : des bactéries, des virus ou plus rarement des parasites et des champignons. Le plus souvent, la pneumonie est due à une bactérie, le pneumocoque. L'infection touche les « alvéoles pulmonaires », les petits ballons situés à l'extrémité des voies respiratoires (« bronches » et « bronchioles »), qui se gonflent et se dégonflent en fonction de la respiration, et où se produisent les échanges d'oxygène et de gaz carbonique (« oxyde de carbone ») entre l'air extérieur et le sang. Lorsque l’infection se développe, elle entraîne une inflammation de la région du poumon concernée et la formation de pus qui vient remplir les alvéoles et empêcher l’oxygénation à cet endroit. Le pus est rempli de protéines toxiques pour détruire les bactéries et il peut abîmer les alvéoles. On distingue les pneumonies communautaires acquises en milieu urbain ou rural des pneumonies nosocomiales acquises à l'hôpital. Les poumons sont divisés en cinq lobes, trois dans le poumon droit et deux dans le gauche. Lorsque l'infection atteint un seul lobe, on parle de pneumonie lobaire. Quand les bronches sont aussi touchées, c'est la bronchopneumonie.

Une pneumonie peut apparaître n'importe quand, mais elle est plus fréquente avant l'âge de deux ans et après 60 ans ;Une maladie pulmonaire préexistante comme l'asthme, la broncho-pneumopathie chronique obstructive(BPCO), la mucoviscidose, etc. ;D’autres maladies telles que l’insuffisance rénale, l’hépatite chronique, la drépanocytose…Un déficit immunitaire : une infection VIH (virus de l'immunodéficience humaine) ; L’absence de rate Une chimiothérapie ou une corticothérapie sur le long terme ; Des troubles de la déglutition ou de la toux ; Le tabagisme

Les poumons sont les premiers organes touchés par les infections survenant chez des malades immunodéprimés. Il existe 2 types d’immunodépression : soit liée au virus du SIDA (VIH), soit secondaire à l’immunodépression « non-VIH » : dans ce dernier cas l’immunodépression est secondaire à une maladie hématologique ou à une transplantation d’organe ou au traitement des cancers ou à des traitements immunosuppresseurs prescrits au long cours pour des maladies auto-immunes. Si les traitements antirétroviraux ont fait diminuer l’immunodépression liée au VIH, l’allongement de la survie des malades atteints de cancer et le développement de nouveaux traitements immunosuppresseurs font que le nombre de malades immunodéprimés non VIH avec infection pulmonaire est en augmentation constante, en particulier en cas de globules blancs et d’anticorps bas ou en cas de déficit lymphocytaire T. Les microbes potentiellement en cause sont très nombreux, dont certains sont des « opportunistes » car ils sont non virulents chez une personne saine, mais ils peuvent se développer et deviennent pathogènes chez des malades immunodéprimés (champignons tels que pneumocystis ou aspergillus). La prise en charge de ces pneumonies est d’autant plus complexe qu’elles peuvent s’intriquer à des complications non infectieuses de l’immunodépression. La recherche du microbe responsable est indispensable.

La pneumonie est une infection aiguë des poumons, au niveau des « alvéoles pulmonaires », la structure qui permet les échanges entre le sang et l’air inhalé. La pneumonie est aussi appelée « congestion pulmonaire ». La « pneumonie communautaire » est une pneumonie acquise en milieu urbain ou rural. La pneumonie acquise en milieu hospitalier est dite « nosocomiale ». La pneumonie est à risque chez les immunodéprimés.

Les pneumonies bactériennes communautaires sont peu contagieuses par contact direct, à l’inverse des pneumonies virales. Les germes peuvent éventuellement se transmettre d'une personne à une autre par la toux et les éternuements et par l'intermédiaire d'objets contaminés. Les pneumonies nosocomiales sont transmises en milieu hospitalier en fonction d’un certain nombre de facteurs de fragilité : maladie responsable de l’hospitalisation, âge élevé, maladies associées et traitements entrepris à l’hôpital.

Les pneumocoques pénètrent dans les poumons par les voies respiratoires. Ils sont respirés ou déjà présents dans la cavité buccale ou la sphère ORL (oto-rhino-laryngologique). Lorsque ces germes pénètrent dans les alvéoles, ils provoquent une inflammation. Les alvéoles se remplissent alors de pus et de liquide, rendant la respiration douloureuse et limitant l’absorption d’oxygène.
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