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Lesions cerebrale(blessure au cerveau)
AUTRE.
AUTRE
Une lésion cérébrale signifie généralement un bouleversement radical de votre vie. Elle peut avoir un impact sur votre pensée, votre comportement, votre mémoire et vos possibilités physiques. Si la lésion cérébrale entraîne une rétraction ou une raideur des muscles, ou encore une spasticité,
Une lésion cérébrale acquise correspond à une lésion cérébrale qui n’est pas due à une affection héréditaire, congénitale ou dégénérative, et qui n’est pas liée à la grossesse ou à l’accouchement.1 Le plus souvent, une lésion cérébrale acquise entraîne des modifications de l’activité des neurones (cellules nerveuses). Ces modifications touchent une ou plusieurs zones fonctionnelles telles que la cognition, la parole, le langage et la communication, la mémoire, l’attention et les possibilités de concentration, la pensée logique, la pensée abstraite, le comportement psychosocial, le traitement de l’information et les fonctions physiques
Une lésion cérébrale traumatique est la conséquence d’un coup porté sur la tête ou d’une pénétration de la tête, entraînant une perturbation de la fonction cérébrale. Une lésion cérébrale traumatique peut être légère (une brève modification de l’état mental ou de la conscience) à sévère (une période plus longue d’inconscience ou une amnésie après la lésion). Une lésion cérébrale peut entraîner des problèmes à court et à long terme en rapport avec les fonctions motrices
Dès que l’état du patient est stable, le diagnostic peut être posé à l’aide des examens suivants :8 examen physique ; examen cognitif – éventuellement à l’aide de l’échelle de coma de Glasgow (GCS) ; examen neurologique détaillé ; étude des antécédents médicaux complets – pour exclure d’autres affections ; radiographies du crâne et de la nuque – pour déterminer l’importance des fractures du crâne et de la nuque ; CT scan ou CAT-scan – pour examiner le cerveau au moyen d’images à la recherche de saignements, d’accumulations de liquide ou de tumeurs ; EEG – un électroencéphalogramme ou EEG produit un enregistrement graphique de l’activité cérébrale ; angiographie cérébrale – cette technique d’imagerie permet de dresser la carte des vaisseaux sanguins cérébraux ; IRM – l’IRM (imagerie par résonance magnétique) permet, au moyen de champs magnétiques, d’obtenir des images tridimensionnelles du cerveau, à l’aide desquelles on peut détecter de petites lésions cérébrales.
Certaines personnes ne parviennent plus à exercer leur profession, à tenir leur ménage ou à faire face aux tâches de la vie quotidienne. Elles vivent à un rythme ralenti
Les lésions cérébrales peuvent être d’origine traumatique, vasculaire ou faire suite à une maladie. On retrouve notamment : le traumatisme crânien provoqué par un accident, une chute, une agression, l’AVC, la tumeur cérébrale, l’anoxie dans le cas d’une noyade par exemple, l’agent infectieux qui va détruire les cellules nerveuses, la méningite.
Les causes des lésions cérébrales acquises sont notamment :2 obstruction des voies respiratoires ; quasi-noyade, gonflement dans la gorge, asphyxie, strangulation, lésion thoracique ; décharge électrique ou impact de foudre ; blessure à la tête ou à la nuque ; lésion cérébrale traumatique avec ou sans fracture du crâne, hémorragie due à des plaies ouvertes, lésions artérielles dues à un coup violent, choc; interruption de l’apport sanguin ; crise cardiaque, accident vasculaire cérébral, malformations artério-veineuses (malformation du système vasculaire, MAV), anévrisme, opération cérébrale ; maladie infectieuse, tumeur cérébrale, trouble du métabolisme ; méningite (inflammation des méninges), certaines maladies sexuellement transmissibles, SIDA, certaines maladies transmises par des insectes, tumeur cérébrale, hypo- ou hyperglycémie, encéphalopathie hépatique (affection cérébrale due à une insuffisance hépatique), encéphalopathie urémique (trouble de la fonction cérébrale dû à une insuffisance hépatique ou rénale), épilepsie ; exposition à des substances toxiques ; abus de drogues ou d’alcool, intoxication au plomb, intoxication au monoxyde de carbone, exposition à des substances chimiques toxiques, chimiothérapie (rare).
La spasticité se produit en cas de lésion d’une partie du système nerveux central (le cerveau ou la moelle épinière) qui commande les mouvements volontaires. Cette lésion interrompt les signaux importants qui sont échangés entre le système nerveux et les muscles. Ceci provoque un déséquilibre entraînant une activité musculaire excessive ou des spasmes. La spasticité peut entraver les mouvements, la posture et l’équilibre. Cela peut provoquer une détérioration de la fonction motrice d’un ou de plusieurs membres, ou d’un côté du corps. La spasticité peut devenir telle qu’elle perturbe les activités quotidiennes normales, l’architecture du sommeil et les soins personnels. Le manque de contrôle peut parfois être à l’origine de situations dangereuses pour le patient et son entourage.
Les symptômes possibles d’une lésion cérébrale traumatique sont : détérioration cognitive (capacités intellectuelles, notamment les fonctions mnésiques) ;2 état végétatif prolongé ;2 problèmes comportementaux sévères (psychose, dépression, agitation, esprit belliqueux, agressivité) ;2 troubles locomoteurs ;2 spasticité.
Une lésion cérébrale est un handicap qui comporte de nombreuses facettes. Malgré des similitudes, les troubles varient considérablement d’une personne à l’autre. A cause de la lésion cérébrale, le cerveau ne fonctionne plus comme avant. On assiste à la défaillance partielle ou complète des fonctions dépendant de la zone où la lésion se situe. Certaines personnes ne perçoivent plus qu’une moitié de leur corps, d’autres savent encore parler, mais ne comprennent plus ce qu’on leur dit ou ne peuvent plus s’organiser et planifier ce qu’elles doivent faire.
Changements physiques: Parfois, les lésions cérébrales peuvent avoir des effets physiques : des problèmes de mobilité, des maux de tête, de la fatigue, de la douleur et des changements sensoriels.
Le pronostic est la trajectoire probable d’une maladie ou d’une blessure. Dans le cas d’une lésion cérébrale acquise, le pronostic est censé donner la meilleure estimation des effets et du rétablissement. Chaque lésion cérébrale acquise est différente, et de nombreux facteurs en affectent le pronostic de rétablissement. Le pronostic est affecté par les facteurs suivants: La gravité de la blessure Des blessures antérieures et des conditions existantes L’accès au traitement L’âge L’endroit du cerveau ayant subi la blessure
Une lésion cérébrale pose un véritable défi au cerveau. Notre système nerveux reste capable de récupérer, même lorsque nous vieillissons. Les cellules et les connexions nerveuses qui ne sont pas mortes peuvent se régénérer. Les fonctions localisées là où le tissu a été détruit sont assumées par d’autres zones du cerveau. Une thérapie intensive peut l’inciter à établir de nouvelles connexions – ce qui demande du temps. De plus, les nouvelles connexions ne sont jamais aussi bonnes ni aussi rapides que les connexions d’origine. Ce processus est astreignant, fatiguant et fastidieux pour les personnes victimes d'une lésion cérébrale. Elles arrivent à leurs limites plus vite qu’auparavant. Pourtant, elles parviennent parfois à récupérer complètement leurs capacités – c’est surtout le cas lorsque les lésions sont relativement légères et les personnes encore jeunes.
Si le traumatisme crânien est peu important et ne cause pas d’autres symptômes que de la douleur au site de la lésion, on peut utiliser un léger antalgique comme le paracétamol. Il ne faut pas prendre d’aspirine ni d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens parce que ces médicaments peuvent aggraver tout saignement dans le cerveau ou le crâne. Les médecins font des points de suture ou utilisent des agrafes médicales pour fermer les coupures et appliquent ensuite des pansements ou des bandages. Si la personne n’a pas perdu connaissance, ou n’a perdu connaissance que brièvement et ses résultats d’examen sont normaux, elle peut rentrer chez elle, tant qu’un membre de sa famille ou un proche peut la surveiller régulièrement pendant les 24 heures suivant la lésion, au cas où certains symptômes surviennent. Le membre de la famille ou le proche doit conduire la personne à l’hôpital si l’un des symptômes potentiellement graves suivants se développe : Vigilance et conscience de l’environnement réduites Problèmes de vue, d’audition ou difficultés à marcher Engourdissement ou paralysie d’une partie du corps Maux de tête qui s’intensifient Vomissements Détérioration de la fonction mentale (telle que confusion, incapacité à reconnaître les gens, ou comportement anormal) Convulsions
Changements cognitifs: Il s’agit de la manière dont le cerveau apprend, traite l’information, forme des souvenirs et prend des décisions. Les défis des changements cognitifs touchent la communication, la concentration, la lecture et l’écriture, la prise de décisions et la mémorisation.
Changements émotionnels: À la suite d’une lésion cérébrale, une personne peut éprouver des émotions nouvelles ou différentes, y compris la dépression, l’anxiété et/ou la colère. Il est difficile de s’adapter aux changements émotionnels, et c’est pourquoi il est important d’avoir un système de soutien composé de membres de la famille, d’amis et de professionnels de la santé
Si le traumatisme crânien est peu important et ne cause pas d’autres symptômes que de la douleur au site de la lésion, on peut utiliser un léger antalgique comme le paracétamol. Il ne faut pas prendre d’aspirine ni d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens parce que ces médicaments peuvent aggraver tout saignement dans le cerveau ou le crâne. Les médecins font des points de suture ou utilisent des agrafes médicales pour fermer les coupures et appliquent ensuite des pansements ou des bandages. Si la personne n’a pas perdu connaissance, ou n’a perdu connaissance que brièvement et ses résultats d’examen sont normaux, elle peut rentrer chez elle, tant qu’un membre de sa famille ou un proche peut la surveiller régulièrement pendant les 24 heures suivant la lésion, au cas où certains symptômes surviennent. Le membre de la famille ou le proche doit conduire la personne à l’hôpital si l’un des symptômes potentiellement graves suivants se développe : Vigilance et conscience de l’environnement réduites Problèmes de vue, d’audition ou difficultés à marcher Engourdissement ou paralysie d’une partie du corps Maux de tête qui s’intensifient Vomissements Détérioration de la fonction mentale (telle que confusion, incapacité à reconnaître les gens, ou comportement anormal) Convulsions
Une lésion cérébrale pose un véritable défi au cerveau. Notre système nerveux reste capable de récupérer, même lorsque nous vieillissons. Les cellules et les connexions nerveuses qui ne sont pas mortes peuvent se régénérer. Les fonctions localisées là où le tissu a été détruit sont assumées par d’autres zones du cerveau. Une thérapie intensive peut l’inciter à établir de nouvelles connexions – ce qui demande du temps. De plus, les nouvelles connexions ne sont jamais aussi bonnes ni aussi rapides que les connexions d’origine. Ce processus est astreignant, fatiguant et fastidieux pour les personnes victimes d'une lésion cérébrale. Elles arrivent à leurs limites plus vite qu’auparavant. Pourtant, elles parviennent parfois à récupérer complètement leurs capacités – c’est surtout le cas lorsque les lésions sont relativement légères et les personnes encore jeunes.
Changements cognitifs: Il s’agit de la manière dont le cerveau apprend, traite l’information, forme des souvenirs et prend des décisions. Les défis des changements cognitifs touchent la communication, la concentration, la lecture et l’écriture, la prise de décisions et la mémorisation.
Changements émotionnels: À la suite d’une lésion cérébrale, une personne peut éprouver des émotions nouvelles ou différentes, y compris la dépression, l’anxiété et/ou la colère. Il est difficile de s’adapter aux changements émotionnels, et c’est pourquoi il est important d’avoir un système de soutien composé de membres de la famille, d’amis et de professionnels de la santé
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