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Dependance au Sucre
L'exces de sucre peut creer des troubles de la memoire et de l'anxiété, de l'insuffisance rénale et le surpoids.
Le sucre peut causer le diabete, et il favorise la multiplication des bacteries qui causent les caries dentaires.
Diabete
Avoir peur de manger quelque chose au point de ne pratiquement plus rien manger de peur d'augmenter sa glycémie. Ces patients s'expose à une mal nutrition qui a elle aussi ses complications, le diabétique mange tout mais doit connaître les 15 principes a respecter afin de ne pas avoir des complications.Uniquement c'est pas bon certe ce sont des aliments importants mais le diabétique doit connaître équilibrér ses repas avec les autres nutriments dans les féculents et céréales, les proteines et produits laitiers
Premièrement l'organisme aime les variations donc il ne faut pas avoir des formules fixes - pour varier il faut connaître de quoi est constitué ce dont nous mangeons au quotidien et savoir comment tout combiner afin de respecter les principes nécessaires pour ne pas avoir des complications Le docteur on m'a dit de ne pas manger les plantains ni les pommes de terres ni la patate et autres car c'est riche en sucre. Il faut les consommer, en fait le diabétique comme tout être humain à besoin de sucre mais de façon lente ce qui correspond bien à ces aliments qui apportent lentement le sucre, le problème n'est pas d'annuler un aliment mais d'equilibrer(donner tout ce dont l'organisme a besoin) et de connaître les proportions adéquates en fonction de son niveau.
Si vous êtes diabètiques sous un traitement et vous constatez que vous uriner beaucoup c'est que le traitement ne marche pas. Alors ce qu'il faut savoir c'est que lorsque le sucre s’élève dans le sang surtout en petite quantité, le patient ne manifeste aucun symptôme et c est la phase silencieuse de la maladie même si le diabète ronge déjà les organes. Lorsque le sucre s’élève d'avantage le patient commence à manifester des symptômes notamment le fait de beaucoup uriner, d'avoir beaucoup soif car le sucre étant en excès dans le sang, l'organisme le rejete par les urines et le sucre à cette particularité d'attirer l'eau quand il circule c'est pour ça que le sucre et l'eau vont augmenter dans les urines et vous allez donc uriner en grande quantité et fréquemment.
Alors un patient qui prend un traitement , et qui continue à beaucoup uriner, ça veut dire que le traitement ne marche pas Parfois on peut prendre ça glycémie (taux de sucre) et voir que le résultat est normal mais pourtant le diabète n'est pas équilibré et vous uriner toujours beaucoup même si c'est souvent rare.Le meilleur moyen de savoir que son diabète est équilibré c'est de faire son '' hémoglobine glyquee'' ( tous les diabètiques doivent savoir ce que c'est, c'est pas pour exclusivement pour le médecin)
Quand je parle du traitement du patient qui ne fonctionne pas, il agit de trois points principalement l'alimentation qui est le pilier de la prise en charge, un diabètique bien formé sur son alimentation ne fait pas de complications. L'activité physique régulière qui a pour but de mettre le système du diabètique en mode destruction de l'énergie accumulé en graisse et ainsi stabiliser la glycémie surtout a long terme, c'est pour ça que ça doit être regulier dans le temps. Les médicaments qui sont l'arme la plus utilisée, en général si vous prenez bien votre médicament et vous pissez toujours abondamment ça veut dire qu'il ne fonctionne pas et il faudra que le médecin change ou améliore les deux éléments précédents de traitement
Alors ce qu'il faut savoir c'est que l'un des principes de l'alimentation chez le diabétique est d'avoir une glycémie la plus stable possible, sauter un repas déstabilise la courbe et vous expose aux complications. Eviter de consommer les fruits sucrées. Alors c'est pas parce-qu'un fruit a le goût très sucre qu'il est très charge en sucre(exemple ananas) - et même les fruits très charges en sucre on leur place car ils apportent des éléments que les autres n'ont pas mais pour consommer les fruits il faut connaître la notion d'équivalence entre les fruits et d'index glycémique. En résumé la plus grosse erreur chez le diabétique est de ne pas se former sur son alimentation Si vous êtes diabétiques et vous voulez tout connaître sur votre alimentation ,merci de vous inscrire à notre programme diétetique.
Douleurs au ventre
Echographie
Etouffement
Grossissement naturel des Seins
Hypertrophie de la Prostate
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est une affection susceptible d’atteindre tout homme ayant dépassé le seuil de la cinquantaine. Des constations épidémiologiques indiquent qu’elle est de plus en plus d’actualité. Bien que l’on assimile à un certain âge le terme « prostate » à une maladie, il faut bien comprendre que tous les hommes possèdent une prostate et qu’il s’agit d’une structure située au carrefour des voies urinaires et des voies génitales, ce qui explique les répercussions des maladies prostatiques sur l’appareil urinaire ou sur le système génital. La prostate qui est de petite taille chez l’adulte jeune (poids de 20 à 25 g) voit son volume fréquemment augmenté avec l’âge pouvant parfois atteindre plus de 250 g.
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est l’affection prostatique la plus fréquente. En moyenne, un homme sur trois présentera des problèmes liés à l’HBP. Il s’agit d’une augmentation bénigne du volume de la prostate. Parallèlement, un cancer peut se développer sur la prostate, qui reste longtemps asymptomatique. Les 2 affections sont liées. C’est pourquoi dans sa démarche diagnostique, le médecin doit garder à l’esprit que devant une augmentation de volume de la prostate, un cancer de la prostate, une HBP ou même une prostatite inflammatoire ou prostatite.
Parmi les facteurs de risque incriminés : le terrain familial, l’âge avancé et les androgènes produits principalement par les testicules. Dans les croyances populaires, certaines idées préconçues sont véhiculées évoquant une relation entre la survenue de l’HBP et des antécédents d’activité sexuelle importante. A ce sujet, on peut vous rassurer qu’il n’existe aucune relation de cause à effet et donc que chacun peut continuer à son rythme.
Les signes sont nombreux et variés. L’HBP peut rester longtemps latente et asymptomatique ou de survenue progressive au point que le patient s’adapte pensant à tort que c’est probablement lié à l’âge.
Il peut s’agir de signes urinaires irritatifs comme :- • Le fait d’aller uriner fréquemment entravant parfois les activités diurnes ou le sommeil; parfois le patient signale une impossibilité de réprimer le besoin d’uriner ce qui peut même engendrer des pertes d’urine. Dans ce dernier cas et particulièrement dans le contexte de la religion musulmane, le patient viendra assez rapidement consulter car ayant le problème de maintenir la propreté nécessaire à la prière ;
- • La difficulté d’uriner à type de gêne importante pour émettre l’urine qui sort difficilement avec parfois la sensation de vidange vésicale incomplète ; Des complications comme :
- • l’impossibilité totale ou partielle d’uriner traduisant une rétention d’urine ;
- • l’émission de sang dans les urines dont l’abondance peut être variable ;
- • la présence d’une hernie de l’aine traduisant l’issue des anses intestinales par des zones de faiblesse de la paroi abdominale. Elle est en rapport avec l’importance de la poussée abdominale pour émettre les urines afin de lutter contre l’obstacle ;
- • la découverte d’une « pierre » ou calcul dans la vessie ;
- • des infections urinaires ou génitales;
- • une insuffisance rénale est possible.
Parfois il n’existe pas de plaintes rapportées par le consultant et l’HBP est découverte lors d’un examen chez le médecin pour une autre raison ou lors d’un bilan systématique.
Sur la base de signes d’orientation liés aux plaintes du patient, le diagnostic est essentiellement basé sur le toucher rectal. Contrairement aux femmes qui ont davantage compris la nécessité de l’examen gynécologique et font fi de tous les éventuels désagréments liés à la consultation, les hommes restent récalcitrants au toucher rectal. Ce toucher rectal permet dans la majorité des cas d’objectiver les caractères évocateurs de l’HBP. Une des difficultés diagnostiques réside dans le fait que le cancer de la prostate peut parfois présenter les mêmes caractères au toucher rectal que l’HBP. Les données de l’examen clinique sont toujours corrélées à certaines données de laboratoire dont l’antigène spécifique prostatique (PSA) pour conforter le diagnostic d’HBP ou s’orienter vers d’autres maladies et d’autres examens. Le bilan vérifiera à l’examen d’urine la présence ou non d’une infection des voies urinaires. L’échographie de l’appareil urinaire suffit le plus souvent comme examen d’imagerie précisant la forme de la prostate, son volume et le retentissement d’une éventuelle obstruction sur la vessie ou les reins.
Dans l’hypertrophie bénigne de la prostate, il faut garder à l’esprit que le volume de la prostate n’est pas l’élément déterminant. Une grosse prostate ne pose pas forcément plus de problèmes qu’une prostate de petite taille. On ne traite que les répercussions à type de signes irritatifs, obstructifs ou les complications. il suffit parfois de continuer à surveiller le patient en lui prodiguant quelques conseils hygiéno-diététiques (uriner régulièrement, boissons en quantité suffisante, maintenir les activités physiques, diminution des épices et des alcools, …).
Lorsque l’on a recours à un traitement médicamenteux, ce dernier repose sur trois classes de médicament très efficaces mais très onéreux dans notre système de santé:
- • les médicaments dits « alpha-bloquants » qui viennent au premier plan et qui diminuent la tension au niveau de la filière de sortie de la vessie facilitant l’émission de l’urine ;
- • les « inhibiteurs de la 5 alpha réductase » qui agissent essentiellement sur le volume prostatique afin de le diminuer ; il faut remarquer que les effets de ce traitement sont notés après plusieurs mois de prise du produit et que l’un des effets secondaires rapporté est le dysfonctionnement sexuel.
- • La phytothérapie à base d’extraits de plantes est disponible tant dans les laboratoires pharmaceutiques que dans les grandes surfaces commerciales dans certains pays. Les mécanismes d’action et les résultats de ces produits sont variables.
Dans certains cas, seul le traitement chirurgical est indiqué du fait de l’absence d’amélioration sous traitement médical ou du fait de complications. L’intervention chirurgicale est souvent réalisée sous anesthésie loco-régionale c’est-à-dire que l’anesthésie générale n’est pas systématique. Cette chirurgie peut concerner : un traitement endoscopique utilisant les voies naturelles donc sans ouverture de la peau et consistant soit à diminuer le volume de la prostate ou fendre au niveau de la filière de sortie de l’urine ; un traitement chirurgical classique à ciel ouvert, ou adénomectomie prostatique qui enlève la partie obstructive de la prostate en passant en avant ou par la vessie.
En règle générale, le patient est hospitalisé entre 3 et 7 jours selon la technique utilisée. Un traitement très intéressant dans son utilisation et ses résultats mais encore peu accessible dans les pays en voie de développement du fait du coût du matériel est le traitement de l’HBP par le laser. Ce traitement est réalisé par les voies naturelles permettant la pulvérisation de la partie prostatique concernée. Les suites opératoires sont souvent simples avec moins de saignements. D’autres traitements physiques sont utilisés mais dont l’évaluation est encore discutée.
Il est important de faire comprendre au patient que dans l’HBP : le traitement chirurgical n’enlève pas toute la prostate mais uniquement une partie de celle-ci et que la partie prostatique restante peut être le siège de nouvelles maladies dont le cancer d’où l’intérêt de continuer la surveillance périodique. Après le traitement chirurgical, il n’existe pas d’atteinte de la virilité du sujet. Du fait de la chirurgie, lors de l’éjaculation, cette dernière s’oriente vers la vessie et non vers l’extérieur via la verge. Cela n’affecte nullement l’orgasme et généralement à l’âge de l’intervention la descendance du sujet est déjà assurée et le recueil de sperme n’est plus la principale préoccupation.
Une certaine dépendance financière de la personne âgée transforme son problème en un problème familial avec tous les corollaires sociaux et culturels. En effet, les problèmes prostatiques surviennent chez un sujet âgé qui peut présenter à cet âge simultanément plusieurs maladies dans un contexte de couverture médicale difficile. Les traitements chirurgicaux ou médicaux des affections prostatiques restent d’un coût élevé malgré des efforts significatifs de prise en charge des personnes du troisième âge dans les structures publiques. Les troubles urinaires agissent directement sur la vie de relation de ces patients qui finissent parfois à adapter leur maladie à l’environnement dans lequel ils évoluent, adaptation parfois néfaste pour leur santé.
A titre d’exemple, l’émission d’urine anormalement fréquente va amener le patient à limiter les boissons avant les déplacements, diminuer les boissons avant le coucher, ne plus conduire son véhicule trop longtemps, ne pas se déplacer s’il n’existe pas de toilette à proximité du lieu d’accueil, refuser de participer à certaines conférences ou invitations du fait de stations assises prolongées sans possibilité de se lever pour aller aux toilettes, Il n’est pas rare que du fait de ses troubles urinaires (odeur malodorante) le patient puisse être confiné à un espace réduit en retrait de son entourage ce qui constitue dès lors un handicap social.
En conclusion, il nous faut préparer aujourd’hui tous ensemble ce que nous serons demain car il n’existe pas vraiment de moyens pouvant prévenir l’hypertrophie bénigne de la prostate (phénomène de vieillissement ? Etat de la nature ?) et j‘invite les populations à partir de la cinquantaine à aller consulter un urologue au moins une fois par an.
HYPOGLYCEMIE
Ces traitements sont domestiques et de premiers soins , en cas de doutes aller dans un centre de santé.
Informations utiles
Des petites informations qui peuvent sauver des vies !
Aujourd’hui, un Africain de 30 à 70 ans a une probabilité de mourir de l’une des principales maladies non transmissibles (affections respiratoires chroniques, maladies cardiovasculaires, cancer et diabète) comparable à la tendance mondiale, soit 19,4 %, selon l’OMS.Les maladies infectieuses sont loin d’être éliminées et continuent leurs ravages dans de nombreux pays : 26 millions de personnes vivent avec le VIH et 93 % des décès par paludisme sont enregistrés en Afrique.
Le saviez vous?
Le diabète quasi inexistant dans les années 1980,en afrique concerne aujourd’hui 6 % de la population subsaharienne.Une grande majorité des personnes atteintes de diabète (69,2 %) ignorent leur état. Or le nombre de diabétiques sur le continent devrait doubler d’ici à 2045, pour atteindre les 41 millions de personnes.
Le saviez vous ?
L’urbanisation, la sédentarisation, l’alimentation plus riche, l’alcool, le tabagisme, la pollution automobile et industrielle… le tout chez des populations plus vulnérables. Les personnes qui ont connu des carences alimentaires au cours de leur développement fœtal et de l’enfance ont plus de risques de développer des maladies chroniques comme l’obésité, le diabète et l’hypertension lorsque l’alimentation et le mode de vie deviennent “obésogènes” .
Pourquoi l'explosion de maladies ?
Les pays du Sud entreprennent leur transition nutritionnelle à un rythme bien plus rapide que celui qu’ont suivi les pays industrialisés et dans un monde globalisé qui favorise l’arrivée massive de produits alimentaires transformés, trop gras, trop sucrés ou trop salés. Il y a encore quelques années, le mil, le lait, le maïs ou les haricots étaient la base nutritive de nombreuses populations rurales. Aujourd’hui, elles s’alimentent de plus en plus avec des produits comme le riz, les pâtes, l’huile de palme, les boissons gazeuses et sucrées… De nombreuses personnes abusent des fameux bouillons cubes, riches en sel et donc favorisant l’hypertension.
Le Saviez vous?
Focalisés pendant des années sur l’urgence sanitaire des maladies infectieuses, les systèmes de santé ne sont pas armés pour faire face à ces nouvelles menaces. La réponse internationale n’est pas non plus à la hauteur de l’enjeu. Nous devons sortir des fonds “verticaux” et passer d’une approche par maladie à une approche par système de santé .
La negligeance de notre santé !
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Aucun médecin n’a l’intégralité de la connaissance médicale et se doit donc d’échanger avec ses confrères afin de mieux servir son patient. Les conditions laissent des médecins livrés à eux-mêmes, ne sachant comment soigner un cas précis. Pour y remédier, nous avons mis en reseau le personnel de santé abonné à ipocrate.org avec ses collègues du monde entier.
Echange d'expertise !
Il est faux de penser que Les Occidentaux ont l’argent, nous avons les maladies. Si les chercheurs occidentaux font 10 000 km pour venir dans nos villages et forets, cela signifie qu’il y a chez nous quelque chose qui les intéresse. La recherche médicale existe en Afrique par les chercheurs africains , est très efficace, mais négligée, nous mettons en avant la phytothérapie et les traitements naturels facile d'accès.
La médecine au naturel !
Selon l'OMS nous avons une déficit de 2 millions de professionnels de la santé en Afrique et en Asie; 40 fois plus de médecins au Qatar ou 26 fois plus en Espagne pour 1000 habitants qu’en Afrique. 15.1 professionnels de la santé pour 10000 habitants en Afrique, bien en-dessous du seuil critique de 23 professionnels de la santé pour 10000 habitant recommandé par l’OMS . Il existe une énorme disparité entre les pays : Niger 1.6/10000 et Botswana 37.5/10000 par exemple. Environ 145 000 médecins en Afrique subsaharienne (5 % des 2 877 000 médecins en exercice en Europe) pour desservir une population de 821 millions.
Le saviez vous ?
LE LYCOPÈNE contenu dans les tomates réduit le risque d’accident vasculaire cérébral. C'est toujours grâce au lycopène, décidément fort bienveillant, que la tomate est l'une des meilleures amies de notre système cardio-vasculaire, notamment en luttant contre le mauvais cholestérol et en diminuant l'agrégation plaquettaire (qui facilite la formation de caillots sanguins)
LA TOMATE (crue et cuite)
La racine du gingembre contient environ 40 antioxydants naturels. Cette plante a donc de véritables propriétés raffermissantes et anti-âge. A cela s’ajoutent ses vertus stimulantes pour la circulation sanguine qui permettent de nourrir en profondeur la peau et de lui donner un aspect plus ferme et élastique. Pour effacer vos rides ou en prévention, vous pouvez utiliser un masque au gingembre.Pour cela, il vous suffit de mélanger 1 cuillère à soupe de gingembre en poudre à 1 cuillère à soupe de miel. Appliquez sur vos rides et laissez agir 15 minutes. Rincez ensuite à l’eau froide. -Le gingembre est également capable d’atténuer l’apparence des cicatrices. Vous pouvez pour cela couper une tranche fine de gingembre frais et tamponner délicatement la zone à traiter. Laissez sécher le jus de gingembre sur votre cicatrice et renouvelez l’opération une à deux fois par jour jusqu’à amélioration