Acuité visuelle
L'acuité visuelle désigne la capacité à distinguer un petit objet de loin,c' est aussi la capacité de discernement des informations apportées au cerveau par la vue et détermine la qualité de la vue.Elle est estimée lors de tests simples pratiqués par un médecin généraliste (en gros, le célèbre tableau de lettres noires sur fond blanc) ou évaluée de façon plus précise, lors de tests plus poussés réalisés par un ophtalmologiste qui visent à vérifier par exemple la distance la plus faible vue entre deux points distincts. L'acuité visuelle peut être différente pour chacun des deux yeux. Une acuité normale est de 10/10e. En dessous, les tests spécialisés mettent en évidence les défauts de vision.
L'âge constitue un facteur de risque concernant l'acuité visuelle : Les enfants âgés de moins de 3 ans doivent être suivis de près et être vus au moins une fois par un spécialiste avant l'entrée en maternelle. Entre 20 et 45 ans, il est inutile de consulter si tout va bien. Pour les personnes dont la vue est corrigée par des lunettes ou des lentilles, il est conseillé de consulter tous les 5 ans. Après 65 ans, un examen par an s'impose .
Que la baisse de la vue soit soudaine ou progressive, un symptôme visuel ne doit jamais être pris à la légère. Des examens de routine, chez votre médecin, chez l'ophtalmologue, chez l'opticien, peuvent être réalisés d'une façon simple et guider le diagnostic pour permettre une correction rapide du trouble ou une prise en charge générale des causes de ce trouble.
Alcool Ethylique
Ce produit n’est pas très indiqué sur une plaie, car elle assèche la peau autour, retarde la cicatrisation et est très douloureuse. Elle a le gros avantage de coaguler le sang, mais cette coagulation crée une membrane sèche et les germes se développent en dessous. On croit que la plaie guérit et l’on est étonné de voir la plaie se creuser lorsqu’on enlève la fine couche.
Arret cardiaque
L'erreur principale est de réaliser les mêmes manipulations sur des personnes d'âges différents.
Chez les adultes, un massage cardiaque indirect s’effectue avec les deux mains : les bases des paumes des mains appuient sur la poitrine du blessé et les pouces des mains doivent être dirigés vers la tête du blessé ou vers ses jambes. C’est la même chose chez les adolescents mais avec une seule main. En revanche, pour effectuer un massage cardiaque indirect sur un nourrisson ou un jeune enfant, il ne faut utiliser que deux doigts.
#Important ! Le massage cardiaque indirect ne peut être effectué qu'en plaçant le blessé sur une surface plane et dure
Arrêter de fumer
D'abord posez-vous les bonnes questions : pourquoi arrêtez-vous de fumer? Vous voulez un enfant, vous êtes enceinte, pour vos proches, pour l'amour du sport, pour votre santé... chaque fumeur a une raison qui le touchera plus qu'une autre. La garder bien en tête vous permettra de conserver votre motivation, élément clé de la réussite, tout au long de ce sevrage et notamment dans les moments difficiles.
Ensuite, il convient d'évaluer son degré de dépendance.
Choisissez une date pour arrêter de fumer
Après avoir fait le point sur vos raisons de vous arrêter de fumer et avoir évalué votre niveau de dépendance, il faut désormais choisir une date pour vous lancer. Cela vous évitera de remettre votre sevrage au lendemain mais vous laissera aussi le temps de planifier cet arrêt et de vous préparer à surmonter certains obstacles. Prévoyez des alternatives en cas d'envie de fumer.
Ne vous laissez pas décourager par certaines idées reçues. Ce n'est pas parce que vous arrêtez de fumer que vous allez forcément prendre du poids ou être irritable et désagréable avec votre entourage. Et si cela arrive, ce n'est pas irrémédiable : rééquilibrer son alimentation et faire un peu plus de sport devrait vous permettre d'éviter ou limiter la prise de poids et en ce qui concerne les symptômes du manque, les substituts nicotiniques permettent de les diminuer fortement.
Identifiez les situations à risques pour mieux y remédier
Certaines situations vont mettre votre volonté à l'épreuve, vous le savez d'avance. Au delà de la dépendance physique, la cigarette entraîne également une dépendance psychologique. Avant d'arrêter de fumer, identifiez ces moments qui risquent d'être difficiles : une soirée en terrasse avec des amis fumeurs, un café, la fin du repas... Et surtout prévoyez des alternatives, des réponses. Dans un premier temps évitez de boire de l'alcool quand vous sortez si cela vous donne envie de fumer, répétez-vous les réponses que vous donnerez aux gens qui vous proposent une cigarette : "non j'ai arrêté"... Et si vous avez trop peur de craquer, prévoyez des sorties différentes avec vos amis : un cinéma, un dîner en intérieur, choisissez de préférence des lieux où l'on ne peut pas fumer. Pour la cigarette en fin de repas, dès que vous avez fini de manger, sortez de table et brossez-vous les dents, dans un premier temps, remplacez le café par une tisane ou buvez un grand verre d'eau.
Vous avez envie de craquer ? Attendez quelques minutes
Vous avez une forte envie de fumer et elle vous semble insurmontable. Pourtant, cette envie va être intense pendant environ 5 minutes, elle connait un pic puis va diminuer. Essayez d'être fort(e) pour la dépasser. Pour vous aider, prenez de grandes inspirations, buvez un grand verre d'eau, sortez vous promener, occupez-vous l'esprit jusqu'à ce qu'elle soit moins forte.
Adoptez une bonne hygiène de vie
Vous êtes moins essouflé(e), profitez-en pour trouver une activité physique qui vous fait plaisir. Elle ne doit pas forcément être intense mais elle va vous distraire, vous déstresser et vous aidera à limiter voire éviter la prise de poids liée au sevrage. Pareil côté alimentation, le sevrage n'est pas le moment d'entreprendre un régime draconien mais vous pouvez optez pour des petits ajustements pour avoir une alimentation plus saine. Par exemple, si vous avez envie de sucre, ayez des fruits à portée de main, évitez de vous resservir à table, mangez équilibré mais en quantité suffisante pour éviter les fringales qui pourraient vous faire craquer.
Listez les effets bénéfiques de votre arrêt
Ils sont nombreux, variés et se constatent rapidement après l'arrêt :
Vous êtes moins essoufflé(e);
Vous retrouvez les goûts et les odeurs;
Vous avez une meilleure haleine;
Vous faites d'importantes économies.
LES EFFETS SUR LA SANTÉ
Ils sont à la fois immédiats et sur le long terme :
Au bout de 20 minutes, votre pression sanguine et vos pulsations cardiaques redeviennent normales;
Au bout de 24h, le monoxyde de carbone est éliminé;
En 72h, votre respiration s'améliore;
En 2 à 3 semaines, toux et fatigue diminuent;
Un à 9 mois après la dernière cigarette, les cils bronchiques repoussent, vous êtes de moins en moins essouflé(e);
Au bout d'un an, le risque d'infarctus du myocarde est divisé par deux et celui d'accident vasculaire cérébral rejoint celui d'un non-fumeur;
Au bout de 5 ans, le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié;
Au bout de 10 à 15 ans, votre espérance de vie est la même que celle d'un non-fumeur.
Faites-vous soutenir
Prévenez votre entourage que vous arrêtez de fumer pour qu'il vous soutienne. S'il y a des fumeurs, demandez-leur de ne pas allumer de cigarette devant vous pour ne pas être tenté(e).
Soyez indulgent(e) avec vous-même
Très important, ne soyez pas trop dur(e) avec vous-même. C'est un moment important de votre vie mais pas toujours facile. Se mettre trop de pression serait d'ailleurs contre-productif, puisque le stress est la première cause de rechute chez les fumeurs qui tentent d'arrêter. Au contraire, gardez des pensées positives, offrez-vous des petits plaisirs en guise de récompense quand vous passez des étapes sans avoir fumé.
Automedication
L'automédication est définie comme la prise de médicaments sans avis médical. Favorisée par l'accès facile à l'information via les médias presse, Internet et la publicité, cette pratique tend à se généraliser sans que les concernés ne se doutent des méfaits, voire des risques qu'entraîne l'acte de se soigner seul.
Dans certains cas, l'automédication peut entraîner des complications sévères.
Pourquoi se soigner seul peut s'avérer dangereux ?
Risques dus au médicament lui-même :
- Méconnaissance des composants du médicament ;
- Toxicité méconnue ;
- Date de péremption du médicament.
- Risques liés à la prise :
- Interactions médicamenteuses ;
- Erreur de posologie ;
- Méconnaissance des effets secondaires ;
- Non prise en compte des éventuelles allergies.
- Difficultés pour le corps médical :
- Retard de diagnostic ;
La prise de médicaments dans le cadre d'une automédication peut masquer certains symptômes ;
- Fausser l'interprétation des résultats biologiques ;
- Se soigner seul, avec des médicaments non appropriés, peut entrainer d'autres maladies ;
- Aggravation des maux.
AVC( Accident vasculaire cérébral)
Pour éviter un AVC de bons réflexes à adopter au quotidien:
-Contrôler sa pression artérielle:
Des études ont mis en avant qu’il existait un lien entre survenue d’AVC et Hypertension artérielle.C’est pourquoi, il est recommandé de faire vérifier sa tension régulièrement, surtout en cas d’hypertension.
-Manger sainement:
Une bonne alimentation réduit le risque de survenue de l’AVC. Des chercheurs ont passé en revue 375 études parues entre 1979 et 2004 afin de cerner le type d’alimentation qui contribue le mieux à prévenir les AVC. Selon leurs analyses, une alimentation pauvre en sel (moins de 1 150 mg par jour) et riche en potassium et en magnésium abaisse la tension artérielle et, de ce fait, contribue à prévenir les AVC . Diminuer le seul,en moyenne, notre consommation quotidienne de sel est de près de 10g, or la consommation recommandée est de 5g.
-Lutter contre la sédentarité:
La sédentarité semble bel et bien néfaste. En effet, pratiquer des activités physiques et sportives réduirait de 25% le risque d’AVC.
-Surveiller son cholestérol:
Le cholestérol est une des matières grasses contenue dans le sang.Il existe deux types de cholestérol. Un taux élevé de LDL-cholestérol (le mauvais cholestérol) constitue un facteur de risque important D'accident vasculaire cérébral ischémique.
-Pratiquer une activité physique régulière
L'Organisation mondiale de la Santé rappelle régulièrement que le manque d’activité physique peut avoir de graves conséquences pour la santé. Une personne sur 3 est totalement inactive, c’est-à-dire qu’elle ne pratique aucune activité physique. Le manque d’activité physique est un facteur de maladies cardiovasculaires, dont l’AVC.
-Eviter le stress:
Les symptômes dépressifs sévères augmentent de 86% le risque d’AVC. Il est donc important de réduire le stress par des méthodes de relaxation et une bonne hygiène de vie.
- arrêter le tabac, facteur de risque des maladies cardiovasculaires
L’accident vasculaire cérébral se manifeste soudainement par :
- une déformation de la bouche
ex : lorsque la personne sourit le sourire n’est pas symétrique
- une faiblesse d’un côté du corps, bras ou jambe
ex : lorsqu’on demande à la personne de lever les deux bras devant elle, l’un des bras ne peut être levé ou rester en hauteur, il retombe
- des troubles de la parole
ex : lorsqu’on demande à la personne de répéter une phrase, elle a des difficultés à parler ou à comprendre.
Si vous êtes témoin d’un de ces 3 signes, réagissez. Appelez immédiatement les Urgences
Brulures
La principale erreur est d’essayer de percer les cloques.
Pour aider une personne qui s’est brûlée, il faut d'abord la forcer à s’allonger sur le sol, éteindre les flammes à l’aide de ses vêtements (à condition qu’ils soient en tissu ininflammable) et appeler les secours.
Après une petite brûlure sans dommage tissulaire significatif, les zones affectées doivent être lavées à l'eau froide pendant 20 minutes maximum. Ensuite, tu devras appliquer un bandage stérile sur la brûlure, et placer de la glace ou tout autre objet froid dessus, puis appeler les secours.
#Important ! En cas de brûlure grave, il est important de donner à la victime un verre d’eau salée, ou d’eau minérale.
Champ Visuel
Le Champ visuel est tout l'espace vu par l’œil qui ne bouge pas, mettons un point noir sur une feuille blanche, et,un oeil étant fermé,nous allons fixer exactement et sans le déplacer le regard de l'autre oeil sur ce point.Si l'on fait bouger un doigt en
Circulation sanguine
POUR QUE L'ORGANISME RESTE EN FORME, les cellules doivent trouver dans le corps les nutriments
indispensables et éliminer correctement les toxines. Lorsque ce processus se dégrade sous l'influence d'une insuffisance circulatoire, l'organisme peut réagir par une
— augmentation de la tension artérielle. Un régime alimentaire riche en fibres et pauvre en graisse ainsi que
la pratique régulière d'exercices physiques sont bons pour le cœur et évitent l'encrassement des parois artérielles. L'ail est la plante la plus indiquée pour
garantir une bonne circulation
Conjonctivite
L'examen de la conjonctive est important dans le cas ou le sang devient pâle(anémie),les conjonctives pâlissent ainsi que les ongles, l’intérieur des lèvres et les paumes, cela dénote un manque de sang qu'il faut y remédier rapidement.Aussi dans le cas de
Deboitement, déboîtage
L'erreur principale est d'essayer de remettre en place un déboîtage soi-même.
La seule manière de déterminer le type de dommages subis par la personne blessée est de procéder à une radiographie. Par conséquent, la seule chose à faire est d'immobiliser la personne blessée – elle ne doit surtout pas redresser ou plier son membre endommagé. Pour ce faire, tu peux utiliser n'importe quel objet plat et étroit et le fixer de manière à immobiliser la zone affectée et les articulations à proximité. Le renfort doit être attaché sur toute la longueur, à l'exclusion de la zone blessée. Si tu n’as pas d'objets adéquats à portée de main, attache le bras au corps ou la jambe à l’autre.
Les bandages ne doivent pas trop serrés, afin de ne pas altérer la circulation sanguine du member.
Déparasitage Intestinal
Le déparasitage intestinal doit être réalise de temps en temps surtout chez l'enfant,en cas de troubles digestifs sans gravité apparente, en cas d'amaigrissement , de ballonement ou de presence des vers dans les selles.C'est un traitement peut coûteux,san
Dependance au Sucre
Le sucre est dangereux pour le cerveau, car il provoque la secretion de la dopamine et serotonine qui rend accro, dependant et depressif.
L'exces de sucre peut creer des troubles de la memoire et de l'anxiété, de l'insuffisance rénale et le surpoids.
Le sucre peut causer le diabete, et il favorise la multiplication des bacteries qui causent les caries dentaires.
Diabete
Avoir peur de manger quelque chose au point de ne pratiquement plus rien manger de peur d'augmenter sa glycémie.
Ces patients s'expose à une mal nutrition qui a elle aussi ses complications, le diabétique mange tout mais doit connaître les 15 principes a respecter afin de ne pas avoir des complications.Uniquement c'est pas bon certe ce sont des aliments importants mais le diabétique doit connaître équilibrér ses repas avec les autres nutriments dans les féculents et céréales, les proteines et produits laitiers
Premièrement l'organisme aime les variations donc il ne faut pas avoir des formules fixes
- pour varier il faut connaître de quoi est constitué ce dont nous mangeons au quotidien et savoir comment tout combiner afin de respecter les principes nécessaires pour ne pas avoir des complications
Le docteur on m'a dit de ne pas manger les plantains ni les pommes de terres ni la patate et autres car c'est riche en sucre.
Il faut les consommer, en fait le diabétique comme tout être humain à besoin de sucre mais de façon lente ce qui correspond bien à ces aliments qui apportent lentement le sucre, le problème n'est pas d'annuler un aliment mais d'equilibrer(donner tout ce dont l'organisme a besoin) et de connaître les proportions adéquates en fonction de son niveau.
Si vous êtes diabètiques sous un traitement et vous constatez que vous uriner beaucoup c'est que le traitement ne marche pas.
Alors ce qu'il faut savoir c'est que lorsque le sucre s’élève dans le sang surtout en petite quantité, le patient ne manifeste aucun symptôme et c est la phase silencieuse de la maladie même si le diabète ronge déjà les organes.
Lorsque le sucre s’élève d'avantage le patient commence à manifester des symptômes notamment le fait de beaucoup uriner, d'avoir beaucoup soif car le sucre étant en excès dans le sang, l'organisme le rejete par les urines et le sucre à cette particularité d'attirer l'eau quand il circule c'est pour ça que le sucre et l'eau vont augmenter dans les urines et vous allez donc uriner en grande quantité et fréquemment.
Alors un patient qui prend un traitement , et qui continue à beaucoup uriner, ça veut dire que le traitement ne marche pas
Parfois on peut prendre ça glycémie (taux de sucre) et voir que le résultat est normal mais pourtant le diabète n'est pas équilibré et vous uriner toujours beaucoup même si c'est souvent rare.Le meilleur moyen de savoir que son diabète est équilibré c'est de faire son '' hémoglobine glyquee'' ( tous les diabètiques doivent savoir ce que c'est, c'est pas pour exclusivement pour le médecin)
Quand je parle du traitement du patient qui ne fonctionne pas, il agit de trois points principalement l'alimentation qui est le pilier de la prise en charge, un diabètique bien formé sur son alimentation ne fait pas de complications.
L'activité physique régulière qui a pour but de mettre le système du diabètique en mode destruction de l'énergie accumulé en graisse et ainsi stabiliser la glycémie surtout a long terme, c'est pour ça que ça doit être regulier dans le temps. Les médicaments qui sont l'arme la plus utilisée, en général si vous prenez bien votre médicament et vous pissez toujours abondamment ça veut dire qu'il ne fonctionne pas et il faudra que le médecin change ou améliore les deux éléments précédents de traitement
Alors ce qu'il faut savoir c'est que l'un des principes de l'alimentation chez le diabétique est d'avoir une glycémie la plus stable possible, sauter un repas déstabilise la courbe et vous expose aux complications.
Eviter de consommer les fruits sucrées. Alors c'est pas parce-qu'un fruit a le goût très sucre qu'il est très charge en sucre(exemple ananas)
- et même les fruits très charges en sucre on leur place car ils apportent des éléments que les autres n'ont pas mais pour consommer les fruits il faut connaître la notion d'équivalence entre les fruits et d'index glycémique.
En résumé la plus grosse erreur chez le diabétique est de ne pas se former sur son alimentation
Si vous êtes diabétiques et vous voulez tout connaître sur votre alimentation ,merci de vous inscrire à notre programme diétetique.
Douleurs au ventre
En cas de douleurs dans la partie inférieure de l'abdomen
L'erreur principale est de prendre des analgésiques ou des antispasmodiques.
On nous recommande souvent de prendre des analgésiques ou des antispasmodiques lors de douleurs dans le bas-ventre. Cependant, les médecins découragent catégoriquement ceci : en éliminant la douleur de cette façon, cela rend possible le fait de "passer à côté" de maladies dangereuses (voire mortelles) telles que l'appendicite aiguë, l'obstruction intestinale ou la perforation d'un ulcère.
Echographie
L'échographie permet de visualiser les organes situés au niveau de l'abdomen, du petit bassin, du cou ( thyroïde, ganglions, foie, rate, pancréas, reins, vessie, organes génitaux) mais aussi les vaisseaux (artères et veines), les ligaments et le cœur.
L'échographie permet l'étude de multiples organes de l'abdomen, du petit bassin, du cou (thyroïde, ganglions, foie, rate, pancréas, reins, vessie, organes génitaux) mais aussi les vaisseaux (artères et veines), les ligaments et le coeur. Elle recherche des anomalies qui pourraient les atteindre (tumeurs, infections, malformations) et peut parfois guider un prélèvement en profondeur.
Au cours d'une grossesse, elle permet d'étudier la vitalité et le développement du fœtus, de dépister des anomalies ou encore de déterminer le sexe de l'enfant.
on principe consiste à appliquer une sonde (comme un stylo) contre la peau en regard de l'organe à explorer. Cette sonde émet des ultrasons qui traversent les tissus puis lui sont renvoyés sous la forme d'un écho.
Ce signal, une fois recueilli va être analysé par un système informatique qui retransmet en direct une image sur un écran vidéo.
C'est un examen absolument indolore. Parfois l'échographiste appuie sur la sonde et peut rendre l'examen plus inconfortable.
Etouffement
L'erreur principale est d'essayer d'appliquer la méthode de Heimlich sur une personne inconsciente.
Si une personne s'est étouffée avec quelque chose et a perdu connaissance, alors tu dois impérativement la placer sur le dos et t’asseoir sur sa hanche. Place ensuite tes paumes sur ses côtes et appuie avec force. Après cela, tourne la victime sur le côté et retire le corps étranger de sa bouche avec tes doigts enveloppés dans un tissu.
Si un enfant s'étouffe avec un corps étranger, il doit être placé sur ton avant-bras gauche (ou droit si tu es gaucher) avec sa tête vers le bas. Donne-lui trois tapes sur le dos puis attrape-lui les jambes et place-le à l’envers.
Si tu effectues la méthode de Heimlich sur une femme enceinte, tu dois appuyer sur les parties inférieures de son thorax.
Grossissement naturel des Seins
Apres l'accouchement il est souvent possible d'avoir des seins tombés, ce qui n'est appréciable ni des hommes que de femmes,pas besoin d’arrêter l'allaitement ou de stresser, il suffit:
- Mixer un concombre mélangé à du jaune d'oeuf et une cuillère à café de Beurre de karité
- Mélanger pour avoir un produit homogène
- Appliquer en massant la poitrine du bas vers le haut en position couchée sur le dos et laisser agir pendant 30 minutes
- Rincer à eau froide et répéter cette opération une fois par semaine.
Cela est très efficace et sans effet secondaire.
Hypertrophie de la Prostate
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est une affection susceptible d’atteindre tout homme ayant dépassé le seuil de la cinquantaine.
Des constations épidémiologiques indiquent qu’elle est de plus en plus d’actualité. Bien que l’on assimile à un certain âge le terme « prostate » à une maladie, il faut bien comprendre que tous les hommes possèdent une prostate et qu’il s’agit d’une structure située au carrefour des voies urinaires et des voies génitales, ce qui explique les répercussions des maladies prostatiques sur l’appareil urinaire ou sur le système génital. La prostate qui est de petite taille chez l’adulte jeune (poids de 20 à 25 g) voit son volume fréquemment augmenté avec l’âge pouvant parfois atteindre plus de 250 g.
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est l’affection prostatique la plus fréquente. En moyenne, un homme sur trois présentera des problèmes liés à l’HBP. Il s’agit d’une augmentation bénigne du volume de la prostate.
Parallèlement, un cancer peut se développer sur la prostate, qui reste longtemps asymptomatique. Les 2 affections sont liées. C’est pourquoi dans sa démarche diagnostique, le médecin doit garder à l’esprit que devant une augmentation de volume de la prostate, un cancer de la prostate, une HBP ou même une prostatite inflammatoire ou prostatite.
Parmi les facteurs de risque incriminés : le terrain familial, l’âge avancé et les androgènes produits principalement par les testicules. Dans les croyances populaires, certaines idées préconçues sont véhiculées évoquant une relation entre la survenue de l’HBP et des antécédents d’activité sexuelle importante. A ce sujet, on peut vous rassurer qu’il n’existe aucune relation de cause à effet et donc que chacun peut continuer à son rythme.
Les signes sont nombreux et variés. L’HBP peut rester longtemps latente et asymptomatique ou de survenue progressive au point que le patient s’adapte pensant à tort que c’est probablement lié à l’âge.
Il peut s’agir de signes urinaires irritatifs comme :
- • Le fait d’aller uriner fréquemment entravant parfois les activités diurnes ou le sommeil; parfois le patient signale une impossibilité de réprimer le besoin d’uriner ce qui peut même engendrer des pertes d’urine. Dans ce dernier cas et particulièrement dans le contexte de la religion musulmane, le patient viendra assez rapidement consulter car ayant le problème de maintenir la propreté nécessaire à la prière ;
- • La difficulté d’uriner à type de gêne importante pour émettre l’urine qui sort difficilement avec parfois la sensation de vidange vésicale incomplète ;
Des complications comme :
- • l’impossibilité totale ou partielle d’uriner traduisant une rétention d’urine ;
- • l’émission de sang dans les urines dont l’abondance peut être variable ;
- • la présence d’une hernie de l’aine traduisant l’issue des anses intestinales par des zones de faiblesse de la paroi abdominale. Elle est en rapport avec l’importance de la poussée abdominale pour émettre les urines afin de lutter contre l’obstacle ;
- • la découverte d’une « pierre » ou calcul dans la vessie ;
- • des infections urinaires ou génitales;
- • une insuffisance rénale est possible.
Parfois il n’existe pas de plaintes rapportées par le consultant et l’HBP est découverte lors d’un examen chez le médecin pour une autre raison ou lors d’un bilan systématique.
Sur la base de signes d’orientation liés aux plaintes du patient, le diagnostic est essentiellement basé sur le toucher rectal.
Contrairement aux femmes qui ont davantage compris la nécessité de l’examen gynécologique et font fi de tous les éventuels désagréments liés à la consultation, les hommes restent récalcitrants au toucher rectal. Ce toucher rectal permet dans la majorité des cas d’objectiver les caractères évocateurs de l’HBP. Une des difficultés diagnostiques réside dans le fait que le cancer de la prostate peut parfois présenter les mêmes caractères au toucher rectal que l’HBP.
Les données de l’examen clinique sont toujours corrélées à certaines données de laboratoire dont l’antigène spécifique prostatique (PSA) pour conforter le diagnostic d’HBP ou s’orienter vers d’autres maladies et d’autres examens. Le bilan vérifiera à l’examen d’urine la présence ou non d’une infection des voies urinaires. L’échographie de l’appareil urinaire suffit le plus souvent comme examen d’imagerie précisant la forme de la prostate, son volume et le retentissement d’une éventuelle obstruction sur la vessie ou les reins.
Dans l’hypertrophie bénigne de la prostate, il faut garder à l’esprit que le volume de la prostate n’est pas l’élément déterminant. Une grosse prostate ne pose pas forcément plus de problèmes qu’une prostate de petite taille. On ne traite que les répercussions à type de signes irritatifs, obstructifs ou les complications. il suffit parfois de continuer à surveiller le patient en lui prodiguant quelques conseils hygiéno-diététiques (uriner régulièrement, boissons en quantité suffisante, maintenir les activités physiques, diminution des épices et des alcools, …).
Lorsque l’on a recours à un traitement médicamenteux, ce dernier repose sur trois classes de médicament très efficaces mais très onéreux dans notre système de santé:
- • les médicaments dits « alpha-bloquants » qui viennent au premier plan et qui diminuent la tension au niveau de la filière de sortie de la vessie facilitant l’émission de l’urine ;
- • les « inhibiteurs de la 5 alpha réductase » qui agissent essentiellement sur le volume prostatique afin de le diminuer ; il faut remarquer que les effets de ce traitement sont notés après plusieurs mois de prise du produit et que l’un des effets secondaires rapporté est le dysfonctionnement sexuel.
- • La phytothérapie à base d’extraits de plantes est disponible tant dans les laboratoires pharmaceutiques que dans les grandes surfaces commerciales dans certains pays. Les mécanismes d’action et les résultats de ces produits sont variables.
Dans certains cas, seul le traitement chirurgical est indiqué du fait de l’absence d’amélioration sous traitement médical ou du fait de complications. L’intervention chirurgicale est souvent réalisée sous anesthésie loco-régionale c’est-à-dire que l’anesthésie générale n’est pas systématique. Cette chirurgie peut concerner : un traitement endoscopique utilisant les voies naturelles donc sans ouverture de la peau et consistant soit à diminuer le volume de la prostate ou fendre au niveau de la filière de sortie de l’urine ; un traitement chirurgical classique à ciel ouvert, ou adénomectomie prostatique qui enlève la partie obstructive de la prostate en passant en avant ou par la vessie.
En règle générale, le patient est hospitalisé entre 3 et 7 jours selon la technique utilisée. Un traitement très intéressant dans son utilisation et ses résultats mais encore peu accessible dans les pays en voie de développement du fait du coût du matériel est le traitement de l’HBP par le laser. Ce traitement est réalisé par les voies naturelles permettant la pulvérisation de la partie prostatique concernée. Les suites opératoires sont souvent simples avec moins de saignements. D’autres traitements physiques sont utilisés mais dont l’évaluation est encore discutée.
Il est important de faire comprendre au patient que dans l’HBP : le traitement chirurgical n’enlève pas toute la prostate mais uniquement une partie de celle-ci et que la partie prostatique restante peut être le siège de nouvelles maladies dont le cancer d’où l’intérêt de continuer la surveillance périodique. Après le traitement chirurgical, il n’existe pas d’atteinte de la virilité du sujet. Du fait de la chirurgie, lors de l’éjaculation, cette dernière s’oriente vers la vessie et non vers l’extérieur via la verge. Cela n’affecte nullement l’orgasme et généralement à l’âge de l’intervention la descendance du sujet est déjà assurée et le recueil de sperme n’est plus la principale préoccupation.
Une certaine dépendance financière de la personne âgée transforme son problème en un problème familial avec tous les corollaires sociaux et culturels. En effet, les problèmes prostatiques surviennent chez un sujet âgé qui peut présenter à cet âge simultanément plusieurs maladies dans un contexte de couverture médicale difficile. Les traitements chirurgicaux ou médicaux des affections prostatiques restent d’un coût élevé malgré des efforts significatifs de prise en charge des personnes du troisième âge dans les structures publiques. Les troubles urinaires agissent directement sur la vie de relation de ces patients qui finissent parfois à adapter leur maladie à l’environnement dans lequel ils évoluent, adaptation parfois néfaste pour leur santé.
A titre d’exemple, l’émission d’urine anormalement fréquente va amener le patient à limiter les boissons avant les déplacements, diminuer les boissons avant le coucher, ne plus conduire son véhicule trop longtemps, ne pas se déplacer s’il n’existe pas de toilette à proximité du lieu d’accueil, refuser de participer à certaines conférences ou invitations du fait de stations assises prolongées sans possibilité de se lever pour aller aux toilettes, Il n’est pas rare que du fait de ses troubles urinaires (odeur malodorante) le patient puisse être confiné à un espace réduit en retrait de son entourage ce qui constitue dès lors un handicap social.
En conclusion, il nous faut préparer aujourd’hui tous ensemble ce que nous serons demain car il n’existe pas vraiment de moyens pouvant prévenir l’hypertrophie bénigne de la prostate (phénomène de vieillissement ? Etat de la nature ?) et j‘invite les populations à partir de la cinquantaine à aller consulter un urologue au moins une fois par an.
HYPOGLYCEMIE
Si vous assistez au malaise d'une personne dû à l'hypoglycémie, il est indispensable de connaître les bons réflexes. Si le sujet, diabétique ou non, est conscient, il faut :
-l'allonger et le protéger du froid ;
- lui donner du glucose (sachets, comprimés) ou une boisson sucrée (soda, infusion bien sucrée) ;
- la laisser au repos jusqu'à récupération complète.
S'il est dans un coma hypoglycémique
Si la victime d'un malaise hypoglycémique est inconsciente et donc en état de coma hypoglycémique, il faut :
- l'allonger sur le côté en position latérale de sécurité et la protéger du froid ;
- attendre son réveil spontané (5 à 10 minutes en général) sans cesser de la surveiller ;
- s'il s'agit d'un sujet diabétique sous insuline, il faut lui injecter l'ampoule de glucagon de sa trousse d'urgence (les proches ont été formés à ce geste par le diabétologue), puis contrôler sa glycémie capillaire ;
- appeler les secours dans les autres cas ou si le sujet diabétique ne se réveille pas dans les cinq minutes qui suivent l'injection de glucagon.
- dès que la personne se réveille, lui donner du glucose (sachets, sirop, sodas).
Pour prévenir et éviter un malaise hypoglycémique, Chez le sujet diabétique, la prévention du malaise hypoglycémique repose sur :
- le respect strict des horaires, du fractionnement et de la composition des repas ;
- le respect des doses d'antidiabétiques oraux et d'insuline, adaptées en principe en fonction de l'autosurveillance glycémique ;
- la prise de collations en cas d'activité inhabituelle.
La répétition de malaises hypoglycémiques, même bénins, doit amener à consulter pour réviser le traitement avec le médecin traitant ou le diabétologue.
Pour choisir le niveau calorique qui vous convient le mieux, calculez vos besoins énergétiques estimatifs (BÉE). Pour connaître votre poids idéal, calculez votre indice de masse corporelle (IMC). Adoptez un horaire régulier pour la prise des repas et collations, même durant la fin de semaine.
Prendre la collation assez tôt (~2 heures après le repas), avant de ressentir la baisse d’énergie.
Ayez toujours quelques collations prêtes à l’avance.
L’exercice et la relaxation sont de bons moyens de réduire le stress qui peut parfois provoquer une crise d’hypoglycémie.
Buvez suffisamment, soit 1 à 2 litres de liquides (incluant eau, lait, soupe, thé, café, jus, etc.), répartis sur toute la journée
Ce à quoi vous devez
faire attention
Il est important de ne sauter aucun repas et de ne pas faire de jeûne; le petit déjeuner est très important.
Les édulcorants ne font pas fluctuer la glycémie, mais ils ne sont pas recommandés, car ils entretiennent le goût du sucre.
Limitez votre consommation de café*, de thé, de boissons gazeuses, les boissons énergétiques et de cacao, car ils augmentent l’action de l’adrénaline peuvent provoquer une baisse de la glycémie. Si vous consommez beaucoup de ces excitants, réduisez graduellement votre consommation.
*Certains médicaments contiennent de la caféine, assurez-vous auprès de votre médecin que les vôtres n’en contiennent pas*.
Il est recommandé d’éviter l’ingestion d’alcool à jeun. Un verre d’alcool non sucré en mangeant peut être bien toléré par certains, mais pas par tous. Discutez-en avec votre médecin. Si vous choisissez de consommer de l’alcool, faites-le avec modération.
Consommez des légumes et des fruits entiers de préférence aux jus.
Ces traitements sont domestiques et de premiers soins , en cas de doutes aller dans un centre de santé.